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DRÔLES D'APPRENTIES

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8 avril 2010

CHAP 8. LE NOUVEAU

        Après cette nuit mouvementée, inutile de vous dire combien le réveil à été à deux doigt de passer par la fenêtre ! Et oui il me faut mon nombre d’heure minimum pour être de bonne humeur donc inutile de vous dire quel était mon état d’esprit en arrivant devant chez Jade.

« OH ! Toi tu as la tête des mauvais jours » Rigola Jade.

« Effectivement, on va dire que mes rêves n’étaient pas de tout repos » Répondis –je.

 Je leur racontais tout de même, en avançant vers l’école, les petits bouts de songes qui me revenaient, pour être honnête pas grand-chose à part ses yeux noirs corbeaux.

 Arrivées devant, un agroupement était présent devant le portail, que des nanas. Mais qu’est ce quelles fessaient toutes là agglutinées devant la grille du collège !

« OUAH ! Ce qu’il est beau le nouveau !! » Entendis-je parler certaines des filles.

 A c’était donc sa il y avait un nouveau. Quesque c’est bête une fille en train de s’extasiée devant un homme, on se serait cru dans ces salles de cinéma où des que le héros apparait à l’écran, la salle se remplit d’exclamations puériles en tout genre. Et oui j’avais prévenues pas de bonne humeur.

Les filles et moi décidions d’avancer malgré la foule qui s’amassait. Nous venions à peine de passer la grille que Cléo s’arrêta.

 Je suivis son regard et repérais la raison de son arrêt, un garçon se tenait au milieu de la cour. Il devait avoir notre âge, je pense, un petit blond quand je dis petit c’est pour un homme, il était plus grand que nous comme même. Il avait le teint mat et ses cheveux blonds lui retombaient sur les épaules.

« Mon dieu, qu’il est beau ! » S’exclama Cléo.

« Oh, non ! Tu vas pas t y mettre toi aussi » M’énervais-je.

« Arrêt un peu de faire ta princesse Elo ! Il faut bien avouer qu’il est pas mal, enfin tu ne peux pas comprendre tu es déjà en couple mais pense aux autres ! » Me répondit froidement Jade.

Bon c’est vrai ! Je pouvais bien l’admettre en secret, il était pas mal. Moins bien que mon chéri mais pas mal comme même. Je savais que je les avais vexée, mais tant pis ! Elles avaient qu’à pas tous prendre au pied de la lettre !

« Bon ! On avance et on se présente, ou on reste là à le dévisager comme des sauvages » Déclarais-je.

« On y va. Je suppose que l’on obtiendra rien de plus de ta part » Se renfrogna Jade.

Elle me connaissait bien comme même, on se connaissait depuis que l’on venait de naitre. Les parents de Jade s’étaient installés dans la maison voisine, pendant la grossesse de Diana, la mère de Jade. Et on avait grandies ensemble et Cléo nous avait rejoint à l’âge de 5 ans, et depuis on ne s’était jamais quittées.

Sur ces derniers mots, nous nous avançâmes en directions du surfeur.

« Bonjour, je me nomme Eloïse et voici Jade et Cléo » commençais-je en désignant mes amies du bout du doigt.

« Enchanté les filles ! Je me demandais si on allait venir me parler ou juste me regarder au loin comme une bête de foire ! Je m’appelle Gabriel, mais vous pouvez m’appelez Gaby, vous savez ou se trouve la classe 115 ? » Répondit Gabriel d’une voix suave.

« Euh ! Et bien c’est le même cours que moi, donc si sa te dit ou je te l’indique comme tu veux » bafouilla Cléo rouge de honte.

AH ! Ah ! Ah ! Ce qu’elle pouvait être drôle notre Cléo, avec sa timidité maladive. S’en était même gênant de se trouver à coté d’elle dans des moments pareil. Heureusement que je ne fessais pas attention à mon image. Bon d’accord un petit peu comme même.

« Non pas de souci je te suis Cléo c’est sa ? » demanda Gabriel aussi rouge que Cléo.

Ils allaient bien s’entendre ses deux la. Au moindre mot, ils se transforment en tomate.

Cléo inclina la tête en signe d’approbation et devança Gabrielle en s’éloignant, lui à ses suites.

« Trop drôle ces deux la. Bon ! Nous aussi faut qu’on y aille sinon on va être en retard » m’adressais-je à Jade.

Elle secoua la tête et me rejoignit dans la classe.

Allez plus que 4 heures d’enfer et après détente à la cantine. Les cours se passèrent en se succédant, tous horribles ! Et enfin le midi arriva pour me délivré de se calvaires. Les cours ne sont pas faits pour moi, mais je devais mit attelé vu que je voulais être directrice de marketing.

Je rejoignais les filles à la cantine et m’installais à la table mon plateau devant moi.

« Alors, raconte-nous d’où tu viens. » demanda Jade à Gabriel qui était en face de moi.

« Je viens de d’emménager avec mes parents à Bezons. Mon père à obtenu une augmentation, donc on est venu par ici. Avant j’habitais dans le sud près de Toulouse. » Répondit Gabriel.

« Ah ! Ok, c’est pour sa que tu arrives en cours d’année. Je comprends mieux ! » Répondis-je.

Le repas se finit dans la bonne humeur, nous permettant de mieux connaitre Gabriel. Il a 15 ans et n’a pas de frère ou de sœur la chance ! Bon je retourne en cours et après cette journée d’horreur rentre à la maison.

TOC TOC

Quelqu’un frappe à la porte de ma chambre, je me lève difficilement de mon lit et enlève mes écouteurs.

« Entrez ! » criais-je

Mon père entre dans la chambre, c’est bizarre il ne vient jamais, il doit avoir un truc à me demander.

« Coucou Elo ; désolé de te déranger mais je voulais savoir si tu étais toujours d’accord pour m’accompagner à mon vernissage samedi ? Et également savoir si Jade et Cléo veulent toujours servir les cocktails ? » Me questionna mon père.

« Mais bien sur mon papounet et les filles aussi avaient dit oui, alors pas de souci ! » Lui répondis-je.

Satisfait mon père sorti en me souhaitant bonne nuit. J’avais le nez fin comme même, je savais qu’il voulait quelque chose. Mais par contre, j’avais complètement oublié le vernissage, j’espère que les filles non.

Je m’endormis et cette nuit là, rien ne vint plus me perturber, ni cauchemar, ni rêves prémonitoire ou non. Juste du repos bien mérité.

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8 avril 2010

CHAP 7. EXPLICATIONS A OK CORAL!!!

« Bonjour les filles» dit shéluna. « Nous vous attendions nous savions qu’à un moment ou un autre, vous nous appelleriez, enfin nous laisseriez sortir devrais-je dire ».Et cela tout en fixant Jade du coin de l’œil.

« Oui, maintenant que vous avez eu le temps de réfléchir y’a-t-il des choses que vous souhaiteriez savoir ? Ou que vous n’avez pas compris ? » Nous questionna Rhéa, de sa douce voix cristalline.

« En faite, oui ! Plusieurs même ! Je me lance » Dit Jade d’un ton peu assuré.

« Premièrement : sommes-nous de la même famille ?

« On peux dire ça ! Effectivement, vous êtes toutes les trois ici, issues de la descendance de Myrdhin. En effet, ses filles sont chacune, vos ascendantes directes. » Nous répondit Rhéa.

« Ok ! À moi deuxièmement : Qui est cet Azael, j’en ai jamais entendu parler ? »Questionna Cléo.

« Azael, est un ange déchu, il a été banni du paradis par l’archange Gabriel, vous n’en avez peut être jamais entendu parler et pourtant vous le voyez au quotidien agir sur votre ville. Les crimes atroces, la violence en tout genre tous cela est l’œuvre d’Azael. N’avez-vous jamais entendu vos parents dire que cette ville est l’apogée des crimes? » Expliqua Hestia avec une description digne d’une enseignante.

« Troisièmement : Qu’attendez-vous de nous exactement ? » Terminais-je.

« Nous, personnellement rien ! Mais toutes les personnes qui ont protégés nos esprits ainsi que celles qui sont dans votre ville constamment en danger attendent de vous, que vous canalisiez vos pouvoirs afin de les utiliser pour anéantir Azaël. Et nous sommes là pour vous aider dans votre quête. »Termina Shéluna.

Je regardais mes amies pour voir dans quel état elles étaient et je constatais que Jade trifouillait ses doigts, une attitude qui démontrait bien qu’elle encaissait mais qu’elle n’était pas à l’aise. Quand à Cléo, elle regardait les déesses avec une telle ferveur, qui je dois le dire me surpris car si il y a bien une de nous trois qui reste un maximum stoïque dans ces situations, c’est bien elle !

« Bon ! On en sait un peu plus maintenant » avançais-je «Mais moi, j’aimerais bien que l’on me dise où trouver cet Azael et comment le combattre car je ne veux pas jouer la pessimiste mais ce n’est pas en faisant voler une clef, ou bien en regardant dans les mailles d’un pull que l’on va y arrivé ! »

« Hé ! Je pense que tu es mal placée pour parler ! Si je me rappelle bien, tes rêves ne nous aident pas plus. loin de là ! » Lâcha Cléo sur un ton de reproche.

« C’est pas méchant », me justifiais-je, « Tu prends toujours la mouche Cléo je faisais une constatation ! C’est tout ! » dis-je en élevant la voix.

« Bon les filles cessez de vous disputer, dans le fond Eloïse n’a pas tord. Vos pouvoirs sont loin d’être à leur summum, même si elle n’aurait pas du le dire sur ce ton très cassant qui n’appartient qu’à elle. Mais en ce qui concerne Azael, je pense que nous pourrions le repérer assez facilement. Déjà pour commencer, c’est un homme. » Coupa Rhéa.

« Super ! Ça ne nous fait plus que 3500 personnes en cette ville, si nous arrêtons nos recherches à Bezons. » Renchérit Jade.

« Mais non petite Jade, nous y allons par déduction car Azael est malin et il se déguise, il ne ressemble pas en tout cas physiquement à ce qu’il était il y a mille ans, de plus je pense qu’il vit à Bezons ou du moins pas très loin, car la violence ici est presque palpable dans l’air. Donc, reprenons c’est un homme et pour pouvoir agir à sa guise, il doit avoir une marge de manœuvre financière élevée. » Expliqua Shéluna.

« Donc il est riche » Simplifia Cléo.

« Oui et d’après ce que l’on sait, tous les 50 ans il est obligé de mourir et de se relever. Le dernier pic de guerre élevé étant en 1943, il a du renaitre à cette période donc il avait 50 ans, en 1993. » nous éclaira Hestia.

Je me levais et vérifiais sur mon ordinateur les faits que venaient d’énoncer Hestia. Effectivement en 1943, les tueries en tout genre étaient omniprésentes. Normal, au milieu de la Seconde Guerre Mondial, me direz-vous

Je recherchais alors sur Google, le taux de mortalité en 1993, et encore une fois Hestia avait raison, le nombre de mort était effectivement très faible, cette date correspondait alors à la renaissance d’Azaël. C’est dingue elle savait vraiment tout sur tout, ça en aurait été même flippant, si je n’étais pas aussi pragmatique !! Et oui une chose à la fois.

Bon je fis un rapide calcul mental pas bien compliqué, je vous l’accorde.

« Donc, si je vous suis bien on cherche un homme riche, dans les 17 ans et habitant notre ville ou du moins dans les environs, c’est exact ? » Demandais-je.

« Oui c’est bien cela, enfin si nos calculs sont correctes » Déclara Rhéa.

Ils étaient exacts ses calculs, puisque moi aussi j’en étais arrivée à ce résultat.

« Bonbah voyons le bon coté de la chose, ça ne fais plus beaucoup de prétendants» Rigola Cléo.

Elle était sérieuse ? Jade et moi regardions Cléo avec un regard désapprobateur.

« Bah quoi ? Déclara Cléo « C’est vrai, on va pas faire une montagne là ou il n’y en a pas ! Je m’explique : c’est déjà dur de concevoir tout ça, la magie, les anges déchus ou non, la guerre entre le bien et le mal, alors si on peut au moins constater en 5 minutes de discussion, que celui qui veut notre mort, celle des esprits et  faire le mal, n’est autre qu’un garçon de 17 ans vivant au alentour de notre ville, ce n’est déjà pas si mal. »Termina-t-elle tout sourire.

Et ben là ! Pour le coup, j’en restais sur le c enfin sans voix. Comment notre petite Cléo si tranquille et toujours pleine de « loin je me tiens du domaine de prendre conscience des choses mieux, je me porte » pouvait avoir radicalement changé, j’en restais Bluffée !

« Et bah, dis donc ! Et moi qui t’avais toujours cru passive de tout. Alors là, pour le coup tu m’surprends ! » Souffla jade.

«Et oui les fillllllleeeesssss ! Va falloir vous y faire ! J’ai grandi » Déclara Cléo en ponctuant sa phrase d’un tirage de langue tout à fait honteux.

Ça y est ! Tout n’était pas perdu, cette histoire ne nous avait pas enlevé notre Cléo, elle redevenait insouciante et enfantine comme on l’aimait.

« Bon ! Ce n’est pas que je veux gâcher le plaisir d’une discussion autour d’un thé » Lançais-je « Mais mes parents ne vont pas tarder à rentrer et je ne voudrais pas qu’ils tombent sur vous trois, sans que mes devoirs soient finis » dis-je en montrant du doigt les Mahabhutas.

Quoi ? Je sais que c’est pas poli de montrer du doigt, mais vu que j’étais fatigué et les nouvelles que nous venions de mettre à plat, j’pense pas que ça sera la dernière journée crevante de l’année.

Les déesses retournèrent à leur point d’origine et les filles partirent en me rappelant que l’on se retrouvait le lendemain devant chez Jade pour allez en cours.

 

La soirée se déroula dans le calme, et heureusement car le bout d’une migraine pointait son nez.

 

Je me couchais tôt ce soir là, mais quelques heures après mettre endormie, je sombrais dans un rêve plus qu’étrange.

Je ne peux pas vous le racontez en détail, car cela m’es impossible. Ce n’était pas ces rêves où on vit une histoire palpitante, ni de ceux où on hurle de terreur. Juste des images envoyées en flash. Un jeune homme plus que séduisant au passage, avec les yeux aussi noir que l’encre. Et comment ne pas me rappeler ses yeux, alors que les flashs de ses deux iris ténébreux m’assaillaient toute la nuit Donc je suppose que je fis mon deuxième rêve prémonitoire, même pas la possibilité de dormir en paix, après une journée harassante.

8 avril 2010

CHAP 6. CODE "CADEAUX D'ANNIVERSAIRE"

Durant la semaine qui suivit, nous nous étions mise d’accord pour éviter de porter nos bagues simultanément, le temps pour nous, de nous habituer à cette nouvelle situation, et surtout de ne pas prendre le risque que trois superbes nanas peu vêtues apparaissent.

Ma chambre redevint vite notre Q.G. et tous les soirs après les cours, nous nous y retrouvions afin d’affuter, ce que nous appelions, nos «  cadeaux d’anniversaire »!

C’était notre petit code secret pour parler de nos pouvoirs. Et oui sinon on nous aurait pris pour trois filles complètement toquées et sa aurait nui à mon image de marque !!!

Cléo fut celle qui eut le plus de facilité, et la maitrise de sa vue devint rapidement pour elle un jeu d’enfant.

Au début elle ne parvenait qu’à traverser l’équivalent d’un tissu, mais très vite elle fut capable de voir la moindre poussière qui volait autour de nous.

Et je pense que son pouvoir cachait encore bien d’autres capacités!

Pour Jade, la dernière à avoir découvert ses dons, ce fut un peu plus long, mais tout de même relativement aisé.

Les plumes volaient, et les stylos tremblaient, puis petit à petit ils se mirent à rouler puis à légèrement se soulever de la table. Jusqu’à s’élever totalement lorsque ses émotions étaient fortes apparemment son pouvoir réagissait beaucoup en fonction de son tempérament.

Il faut dire que sur ce coup la, je me sens un peu jalouse.

Mon «  don » n’étant pas véritablement contrôlable. Et puis mes nuits n’étant pas du tout optimal sa ne me rendait pas d’humeur très tolérable

Après quelques semaines de pratiques, nous décidions ensembles qu’il était temps de refaire une rencontre avec les Mahabhutas, mais oui vous savez les p’tites nanas qui sont à peu près aussi belle que moi.

Donc nous voilà au QG ce samedi la, sans la présence de mes parents (bien sur) pour convoquer nos petits esprits afin d’en savoir plus. Maintenant que jade a fini sa crise de nerfs

« Bon vous êtes prêtes » commençais-je « à trois on enfile nos bagues. »

« Attend ! Attend ! »Renchérit la trouillarde de service.

« A non jade, tu ne vas pas recommencer on n’en a déjà discutées trois billard de fois » souffla Cléo.

« Mais non ! C’est juste que ma bague est dans mon sac nunuche » s’énerva jade.

Jade descendit les escaliers et remonta aussitôt enfin pas assez vite à mon goût bien sur.

« Bon à trois. Un... Deux Troiiiiissss »Dis-je.

Et pour la deuxième fois dans le mois un feu d’artifice débuta dans ma chambre.

Ça commençait d’ailleurs, à me prendre un petit peu le chou que ma chambre de princesse soit devenue l’endroit, des apparitions magiques préférées des nymphes et également un squatte. Bas oui vous comprenez, c’est « ma petite chambre chérie » pas un lieu de réunion.

Les trois esprits apparurent au milieu de ma chambre et nous scrutaient à présent les unes âpres les autres.

8 avril 2010

CHAP 5. ET JADE, ALORS?

Résumons un peu tout ça!

1- Nous avons de nouveaux bijoux un peu étranges d’où sortent de jolies madames (presque plus jolies que moi!).

2- Cléo peut fantasmer sur le voisin d’en face sans avoir à le déshabiller.

3- Mes rêves ont la fâcheuse tendance à se réaliser.

4- Et Jade ! euh ! et bien ! s’est sauvée comme une mauviette!

Il ne manque pas un truc là ?

Nous sommes donc seule dans ma chambre avec Cléo, les drôles de madames ayant disparue peut de temps après le départ de l’autre enquiquineuse.

Leur image c’est en quelque sorte ? Brouillée !, on aurait dit qu’elles, ne captait plus et les bagues ont arrêté de scintiller!

«  Hein? »  Fut la première parole très constructive de Cléo.

Dans ce genre de cas, bien que je n’en connaisse pas de similaire, il vaut mieux ne pas trop réfléchir.

« Arrête de te prendre la tête avec ça, on y pensera plus tard » Lui répondis-je.

Je continuais :

«  Pour le moment il y a autre chose qui me chagrine »

Pas la peine de vous décrire le regard que leva sur moi Cléo, plus larvesque qu’humain, à croire que son cerveau c’étais amoindrie à mesure que ça vue augmentait!

Quoi? Jade aurait-elle oubliée de vous parler de mon célèbre cynisme!?

Bon ok j’arête, mais justement en parlant d’elle :

« Apparemment vous avez toutes les deux zappé un léger détail de mon rêve, aussi prémonitoire soit-il! » 

Même regard larvesque, vide d’expression.

Je m’explique :

« Admettons que tu sois vraiment capable de mater mon superbe soutient gorge bleu sans mon consentement, dans ce cas Jade devrait être en mesure de me l’enlever par la pensée! Bah oui! Ne vous ai-je pas parlé de télékinésie tout à l’heure?  »

Enfin une lueur dans le regard de ma chère petite blonde d’amie (attention, j’ai rien contre les blondes!)

Cléo :

«  Mais tu as raison! Tu penses vraiment ce que tu dis? Il faut absolument qu’on la rattrape avant qu’elle nous fasse une catastrophe involontaire en public! »

Et dans ce cas, croyez moi, c’est très pratique d’être voisines et de vivre à une poignée de secondes, les unes des autres!

En 2 minutes 41 secondes, Cléo et moi étions chez Jade, ou du moins dans son couloir, sa porte de chambre étant parfaitement verrouillée!

«  Allez Jade! Bon sang, tu vas te décider à ouvrir cette fichue porte!!! » M’égosillai-je sur le ton le plus doux dont je sois capable.

Mais sur ce coup la Cléo fut bien plus maline que moi :

«  Tans pis! Et nous qui pension que tu serais intéressée par la découverte que nous avons faites »

 « Fichez-moi la paix!  » Cria jade.

« À ton sujet! » Compléta Cléo.

«  Je vous ai dit de me foutre la paix! » Hurla cette fois Jade avec colère.

A ce moment, la porte de la chambre trembla et s’ouvrit à la volée.

On comprit assez vite en voyant Jade assise sur son lit à l’autre bout de la pièce, qu’elle ne pouvait pas avoir ouvert (physiquement) la porte!

Et d’après son air ahuri, elle en était arrivée à la même conclusion!

Bon, et bien voilà, ça c’est fait!

8 avril 2010

PROLOGUE 2

Ah, enfin! C’est pas trop tôt! Ce qu’elle peut être pipelette cette Jade. Et puis ce qu’elle peut être peste quand elle veut!

Princesse! Princesse! Tu n’imagine pas tous les dossiers qu’elle pourrait te sortir la princesse!

Enfin bon, bref, recadrons un peu la situation.

Comme vous avez du le remarquer, je ne suis pas Jade (dieu soit loué!), non, je suis Héloïse, votre humble servitrice! (si, si, c’est le féminin de serviteur!)

Et oui je suis une grande féministe!

Mais bon assez parlé de moi! Ce n’est pas tout mais nous avons une histoire à vous conter et c’est mon tour de prendre la plume (tellement plus class’ que le clavier! Pff !)

Donc, ou en étions-nous?

Ah, oui

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8 avril 2010

CHAP 4.LE RUPA OU PLUTÔT LES MAHABHUTAS

Nous nous donnâmes la main et terrifiées, nous nous tournâmes vers ces filles enchanteresses qui se tenaient au milieu de la pièce.

« Bonjour Cléo, Jade et Eloïse, nous sommes les Mahabhutas, plus connues sous le nom des trois éléments primaires. Je me nomme Shéluna, l’esprit de l’eau et voici mes sœurs Hestia esprit du feu et Rhéa esprit de la terre. » Commença Mme perfection brune en nous regardant chacune dans les yeux.

« Ouoh whow houw ! Vous ne pouvez pas apparaitre ici et nous appelées par nos prénom et nous lâchées une bombe pareille ! » Hurlais-je de panique et de frayeur.

 Les filles approuvèrent mes dires avec un hochement de tête rapide.

« Ne paniquez pas les filles nous allons tous vous expliquez, peut être devrais-je commencer par le début :

Une prophétie a été établie il ya 1000 ans et annonçait la venue au monde de trois filles puissantes qui à l’âge de la puberté seraient assez fortes pour dominées les éléments et s’en servir pour le bien ou le mal. Pris de panique toutes la communauté rupa enfin magique ou wiccan dans votre langue, décidèrent de nous enfermées nous les mahabhutas dans des anneaux de suretés afin de ne pas pouvoirs être dominées et servir le malin. Mais un magicien nommé Myrdhin, plus connu sous le nom de Merlin nous averti que la prophétie ne pouvait être évitée et que pour cela il ornera chaque anneau d’une pierre précieuse qui nous permettrait de nous révélées aux élues si elles étaient tirées vers le bien. C’est pourquoi nous vous apparaissons aujourd’hui car nous pensons qu’il est temps de nous attelées a notre tache et de vous aidées à gagner la guerre. Cette guerre a été déclenché par l’arrivé sur Terre d’Azael, un ange déchu d’une cruauté monstrueuse et qui s’apprêtait à nous asservir à sa cause. C’est pourquoi, Myrdhin confia à ses trois filles, le soin de nos esprits au travers de 3 bagues. Mais Azael continuera à faire le mal, tant que les trois sorcières porteuses des esprits mahabhutas ne l’auront pas détruit. » Nous expliqua la rouquine aux jambes parfaites.

 Encore sous le choc de ses révélations Eloïse prit la parole.

« Comment pouvez vous être sur que nous somme ces filles ? Ces bagues nous ont justes été remis par nos parents, on ne sait même pas depuis quand elles sont dans notre famille, on les porte car on c’est dit qu’elles feraient cool avec nos vêtements ! »Déclara t –elle avec des sanglots dans la voix.

« Nous le savons, car nous avons lu dans vos cœurs, nous seul sommes capables de repérer celles qui seront aptes a nous contrôlées ne sois pas si dure avec toi petite Eloïse ton cœur est pur malgré tes aire de princesse, vous êtes les élus la preuve en est que vos pouvoirs se sont révélés aux contacte des nôtres, de plus seules les descendantes de Myrdhin peuvent portées ses bagues » Rassura la déesse blonde.

« Moi, je vous crois, je le sens au plus profond de moi que vous dites la vérité même si je suis terrifiée à l’idée de croire des filles sublimes sorties de bagues » Déclara sur un ton convaincu Cléo.

« Donc résumons, nous sommes des sorcières capables de contrôler des éléments indomptables, élues par une prophétie vieille de mille ans et en plus de tous ça on doit se battre contre un ange de pacotille qui a fait des bêtises au Paradis, mais attendez, vous vous rendez compte de l’absurdité de la chose, on a que 14 ans, on va encore au collège, on ne connait rien à la magie et vous voulez nous expédier dans une guerre entre le bien et le mal c’est sa ? » M’énervais-je.

 

 

S’en était trop pour moi et la colère me monta au nez, j’essayais en vain d’enlever cette fichue bague, me levait et sortie de la chambre en claquant la porte.

Nan, mais vous imaginez j’avais à peine ingérer le fait qu’Eloïse et Cléo ai des pouvoirs alors des esprits d’éléments, non merci !

Vous pouvez me traiter de chochotte mais ce n’est pas vous qui étiez dans cette chambre en train d’hallucinée...

8 avril 2010

CHAP 3. LES POUVOIRS

Le lendemain, on se retrouvait toutes chez Eloïse, comme à notre grande habitude, il faut bien l’avouer.

Sa chambre était devenue notre QG, au grand désespoir de ses parents d’ailleurs !

Nous comparions nos bagues et nous rendîmes bien compte qu’elles se ressemblaient énormément.

Je leur racontais alors l’histoire de ma mère.

« C’est quand même bizarre je trouve ! » Terminais-je

« Moi je trouve sa cool ! Sa veut dire que t’a du sang magique que moi aussi, si j’écoute ma tante et que surement Eloïse aussi » Chantonna Cléo.

« Grimoire, mon beau grimoire, viens jeter un sort à Cléo et jade ! » Clama Eloïse. » « Mais non, je rigole, bon laissons cette histoire de coté et enfilons nos bague, au moins, on peut dire qu’elles sont très cool. Sa me fait penser à un truc. » Déclara t- elle en voyant nos têtes de « pas contentes », tout en enfilant sa bague.

Nous l’imitâmes Cléo et moi.

« Les filles, il faut que je vous parle d’un truc hyper, giga, méga, important ! » Commença Cléo.

« Hier soir, j’ai rêvée que Cléo avait une vue super développée et que toi, tu faisais de la télékinésie. Quand à moi, j’avais des prémonitions » Termina Eloïse.

« Eh ! Tu m’as encore coupée la parole ! Ce n’est pas possible comme tu peux être nombriliste, c’est exactement ce que j’allais dire » Ronchonna Cléo.

« Oh là ! Oh là ! "Je désamorce la bombe tous de suite. "On se calme et on reprend tout depuis le début, donc vous avez fait le même rêve ! Et alors ! Moi j’ai bien mangée des biscottes au p’tit dej et y'a pas que moi sur terre ! » Me moquais-je.

« Au lieu de te moquer de nous, et toi de me couper la parole, je vous aurais dit que je n’ai pas rêvée, j’ai vraiment la vue super développée » S’indigna t-elle.

« Prouve-le !!! » Lâcha Eloïse sur un ton de défi « car si c’est vrai, dans ce cas, je viens d’avoir ma première prémonition » Déclara t-elle.

« Ok !!! Tu as un soutif bleu. D‘ailleurs, je dois t’avouer qu’il est horrible et je le sais car je l’aperçois par les micros mailles de ton pull-over, satisfaite ! » Dit Cléo avec le sourire aux lèvres.

Eloïse leva son pull pour démontrer la véracité des paroles de Cléo.

Mon dieu, je réalisais alors que le vœu - vous savez ce truc débile que l’on fait en soufflant les bougies - venait de se réaliser.

« Ca a marché ! Nous avons des dons surnatu » M’exclamais-je avant de tomber dans les pommes.

Je me sortis lentement de ma torpeur et me rendis vite compte que je n’avais pas rêvé, mon estomac se noua et je dus expliquée aux filles l’histoire du souhait tout en ni croyant pas moi-même.

Les autres étaient aussi hésitantes que moi, timidement et craintivement, je suggérais de prendre le joli grimoire d'Eloïse et de choisir un sort afin de vérifier si ce qui nous arrivait, était réel. Malgré la démonstration de Cléo, je n'arrivais toujours pas à y croire.

Nous choisîmes un sort qui mettait en évidence les éléments que nous nous étions choisis par jeu la veille : eau, feu et terre.

Il consistait à éteindre des flammes dans un pot remplit de terre, avec de l’eau sans jamais toucher aucun de ceux ci- dans la réalité, le sort était fait pour éteindre des incendies, mais bon ! On n’allait pas déclencher un incendie dans la chambre d'Eloïse pour vérifier nos nouveaux talents, donc nous décidâmes donc de le faire en miniature.

Eloïse alla chercher un pot en terre que sa mère n'avait pas encore utilisé pour le jardinage, et quelques brindilles dans le jardin. Le sort consistait à enflammées les brindilles, à les éteindre en invoquant l'eau.

Pour le faire, il fallait que nous formions un cercle en nous tenant les mains, placer devant nous les élément nous représentant et en psalmodiant une incantation:

 

“EO ramus incendo ere eo imberbris accido ere flamma, Eo ramus incendo ere eo imberbris accido ere flamma, Eo ramus incendo ere eo imberbris accido ere flamma…”

 

Nous allumâmes donc les brindilles et concentrées, les yeux fermés, nous commençâmes à chantonner. Je rouvris brusquement les yeux en sentant une vague de chaleur autour d'un de mes doigts, ma bague s'était mise à scintiller, incroyable ce n'était pas une hallucination, elle  brillait, et de plus en plus fort et d’après les cris que j’entendais, ma bague n’était pas la seule à jouer la luciole. La lumière nous éblouie puis d’un coup plus rien, plus de lumière, plus de scintillement seulement de superbes créatures ! Oh oui ! Créatures, car personne ne pourrait imaginer de telles beautés.

 

 

Elles se tenaient là, devant nous, aussi vivantes et réelles que je vous vois vous ! (Enfin, façon de parler bien sûr).Elles étaient trois une brune vêtue d’une robe d’un bleu presque ciel, qui ne laissait pas imaginer grand-chose. La deuxième, elle était d’un blond cendré et ne portait que des bribes de vêtements fabriqués dans des feuilles de en faite je ne sais pas de quels arbres était tirés les feuilles. Quand à la troisième qui était d’un rouge orangé chatoyant, elle était habillée de lambeau de robe accrochés les un aux autres par je ne sais quel magie des couleurs allant du bordeaux au jaune.

Le silence ce fit long, je regardais mes amies toutes aussi stupéfaites que moi. Mais qui étaient-elles ? Que nous voulais telles ? Toutes ces questions tournaient dans ma tête et je sentais bien que je n'allais pas tarder à avoir une réponse !

Pour notre bonheur ou notre malheur, Là était la question essentielle, car à ce moment là, rien n’était certain.

8 avril 2010

CHAP 2. LE VOEUX...

Mes invités sont tous là. Il y a Cléo, Eloïse, Lucas (qui est le petit chéri de Eloïse), Enzo sur qui j’ai des vues, des ami(e)s de classes et j’en passe (bah oui ! Ce ne sont pas les stars du livre alors pas besoin de tous les citer) et moi, bien sûr ! La "Starlette" de la journée et oui je venais d’avoir 15 ans.

« Joyeux z’anniversaire, joyeux z’anniversaire jade, joyeux z’anniversaire »S’exclamèrent t-ils tous ensemble.

« Bon anniversaire, ma petite Sorcière ! Je vais t’offrir un philtre d’amour pour ton anniversaire » Me dit Héloïse tout bas, en fixant Enzo.

Je lui donnais un grand coup dans les côtes. Hélas oui ! Discrétion n’était pas son deuxième prénom, malheureusement !

« Mais non ! Je rigole, tu devrais voir ta tête.

« Tiens ! » Me dit-ma mère en me tendant un tout petit paquet rouge.

Je déballais soigneusement le paquet ! Bon d'accord, je plaisante !!! J’adore les cadeaux, alors je me ruais dessus comme la pauvreté sur le monde. J’en sortis une bague en argent avec au centre, incrusté, un rubis.

« Ouah » M’exclamais-je « merci maman c’est magnifique mais elle à l’air ancienne cette bague ? » La questionnais-je.

« Exacte ma princesse, cette bague est dans notre famille depuis des générations elle se transmet de mère en fille ! » M’expliqua t elle.

Mes deux amies regardèrent ma bague avec insistance.

« Quoi ?qu’es qu’il y’a ?vous ne la trouvée pas magnifique » Dis je piquée au vif.

« Bah ce n’est pas sa mais j’ai l’impression de l’avoir déjà vu quelques part…» Déclara Eloïse.

« C’est dingue moi aussi ! C’est juste que je ne me rappelle plus ou exactement ! Bon laissons tomber et retournons a ta fête. » Termina Cléo.

Avant que je puis renchérir ma mère amena un énorme gâteau style "fifille" (mais si, vous savez bien, le gros blanc avec de la crème rose partout). Donc, contrainte et forcée, je soufflais sur le gâteau, non pardon, sur les bougies et je fis le vœu que mes meilleures amies et moi puissions avoir de fantastiques pouvoirs (faut pas rêver, mais bon après tout les vœux sont fait pour ça, sinon on n’appellerait pas ça des vœux mais des exigences).

La fin de journée se termina dans le calme tout comme elle avait commencé, et tout le monde rentra chez soi, me laissant seule avec mon année de plus.

Le lendemain était un jour d’école, l’endroit le plus ennuyeux du monde mais également celui ou on n’est obligé de rester pendant un minimum d’année légal dur hein !

Par chance Cléo et Eloïse était dans la même classe que moi donc sa réconforte un p’tit p’tit peu.

Ce matin là, enfin devrais-je dire comme tous les matins, nous partîmes toutes les trois ensembles et rejoignirent Lucas et Enzo qui nous attendaient devant les grilles du collège.

« Salut toi !» Dis Eloïse en s’approchant de Lucas.

Elle l’embrassa et Cléo et moi ne pouvions que tourner la tête.

C’est vrai quoi ! Ils pourraient faire sa ailleurs que devant nous, ils nous jettent leur amour à la figure. C’est chiant à la fin surtout quand le votre est apporté de main, mais qu’il ne le sait pas encore !

« Eh ! Au faite, j’ai trouvée ou j’avais déjà vu ta bague, tu te rappelle ma tante Zaza ? » Dit Cléo pour coupée cours à mes rêveries.

« Oui ta tante qui dit être une sorcière elle est un peu loufoque avec ses chats mais je l’aime bien » Dis je en souriant.

Oui ! Tante Zaza était une femme d’une quarantaine d’année qui n’avait plus toute sa tête, elle vivait entourée d’une centaine de chats et nous racontais toujours des histoires abracadabrance sur ses aïeules les sorcières.

« Oui c’est elle, mais elle n’est pas folle ! Bref, et bien elle a une bague dans son coffret à bijou qui ressemble approximativement à la tienne sauf que la pierre est verte. Je le sais car elle me laissait souvent jouer avec ses bijoux quand elle me gardait plus petite. » Dis Cléo

« Eh ! ca vient de sonner ! Aller les rêveuses en cours ! Il est l’heure ! » Ordonna Eloïse.

Nous entrâmes dans notre prison, et la matinée passa plus rapidement que je l’avais pensée.

Midi sonna et la cantines commençait à se remplir, quand Cléo raconta a Eloïse la ressemblance entre ma bague et celle de tante Zaza.

« C’est dingue car en rentrant chez moi hier je n’arrivais pas à m’enlever l’image de la bague de Jade et l’impression que je l’avait déjà vue » Commença Éloïse.

Nous choisîmes nos plats et nous installèrent à une table pour laisser Eloïse finir.

« Alors, je me suis mise à fouiller dans mes bijoux mais rien. Et puis une lumière! Je suis partie dans la chambre de maman et j’ai regardée dans la boite a bijou de ma grand-mère maternelle, celle qui est décédée. Et devinez quoi, la même bague que Jade était là sous mes yeux. Si je vous jure ! Bon pas la même, la mienne à une pierre bleue au milieu. » Nous raconta Eloïse.

« C’est dingue sa! Vous voulez dire que l’on a la même bague toute les trois ; » M’exclamais-je.

« J’aurais plutôt dit bizarre, que dingue. Mais oui, c’est ça ! » Dis Cléo.

« Moi, elle me vient de ma grand-mère et maman ma dit quelle appartenait aussi à la mère de sa mère, tous comme celle de Jade. Et toi, Cléo tu connais l’histoire de ta bague ? » Demanda Eloïse.

« Non, mais je te parie que c’est du même genre. J’en parlerais à ma tante se soir et je lui demanderais de me la prêter et comme sa on pourra les comparer. Après tous on n’est pas sur que ce soit les mêmes ! » Répondit Cléo.

Nous vidames nos plateaux et retournèrent en cours, en fin d’après midi Cléo partie chez sa tante et Eloïse et moi rentrâmes chacun chez soit.

Sa devenait franchement Bizarre c’était le mot qu’avait employée Cléo. Trois bagues identiques dans trois familles différentes avouez que ce n’est pas commun.

« Maman, il faut que je te pose une ou deux questions » Dis-je à ma mère qui était plongée dans son roman.

Elle releva la tête : « Vas y me » Dit elle.

« Est-ce que tu sais si il existe d’autre bague comme la mienne ? Et a-t-elle une histoire en particulier, à part cette transmission de génération en génération ? » Demandais-je.

« Alors oui et oui au deux rit elle devant mon air ahurie mais ce n’est que des histoires que ma racontée ta grand-mère lorsque j’étais enfant » Me répondit elle.

« Allez maman ! Ne te fait pas prier, raconte ! » M’énervais-je.

« Ok ! Alors ta bague à deux jumelles enfin c’est ce que ma dit ta grand-mère et toujours d’après elle nous a été transmise par ton arrière arrière ar... Enfin ton ancêtre, qui était parait il un puissant sorcier, à sa fille qui était ton arrière arrière ar bon enfin tu as compris ou je voulais en venir ! » Me dit elle en replongeant dans son livre.

Je me mis à rire, ma mère ne se prenais jamais au sérieux et c’est cela que j’appréciais le plus chez elle.

Mais cela me donna matière à réfléchir donc il existait bien deux autres bagues.

Première question, était-ce celle de mes deux meilleures amies ? Deuxièmement, qu’est ce que cela signifiait, alors vu qu’elle nous avait été transmise de famille en famille ?

Rien de telles que de se poser trop de questions, pour avoir mal à la tête et ne plus savoir ou on en est ! Je montais me coucher et malgré les apparences, je m’endormie très facilement.

 

Cette nuit-là, Eloïse rêva de Cléo et de moi (je n’étais pas dans son rêve bien sûr, enfin si, mais pas comme ça. Il faut bien que je vous explique sinon vous allez être complètement perdu),  et nous avions des pouvoirs surnaturels : Cléo avait une vision super développée, moi j’étais dotée de dons de télékinésie, quand à elle : elle avait des visions prémonitoires, rien de plus agréable pour profiter de sa nuit que d'avoir des rêves prémonitoires, hi hi hi .

8 avril 2010

CHAP1 LORSQUE LA SORCELLERIE S'EN MÊLE...

Notre histoire débute, hé oui il faut bien un début, dans la chambre d’Eloïse, en début de journée, quelques jours après le 24 décembre.

 

«Hé les filles !» Nous interpellâmes Eloïse. « Regardez ce que j’ai eu pour noël !»


  Elle se dirigea vers ce que l’on appelait entre nous le tiroir aux secrets, vous savez le tiroir où on range tous les trucs importants, ceux que l’on veut cacher à ses parents. Faites un petit effort de mémoire et vous vous en rappellerez ! Eloïse en sortit un livre en velours bordeaux et le ramena vers nous. Cléo siffla en apercevant le livre pendant que je poussais une exclamation.


«Ouah ! C’est celui qu’on a vu samedi, quand tes parents nous ont emmenées à "Nature et Découverte" !»


  Cléo nous fit sa tête des mauvais jours et bougonna.


«Et vous ne m’avez même pas invitée ? Vilaines !»


  Eloïse et moi lui tirâmes la langue.


«T’étais même pas là !» s’esclaffa Eloïse.

 

  Une bataille de coussins démarra entre Cléo et Eloïse et je dus l’interrompre.


«Arrêtez de vous engueuler, si on l’essayait plutôt ! »


  Elles se regardèrent d’un air malin, puis décidèrent de se concentrer sur le livre. Hé oui, l’autorité ne fait pas de mal de temps en temps ! Nous voici toutes les trois en train de faire nos apprenties-sorcières, assises en position du lotus (position de yoga que l’on peut difficilement refaire en vieillissant) et placées en triangle au milieu de la chambre.


« Quel élément vous voulez représenter, moi le feu c’est sûr !»

« T’est chiante !» Dit Eloïse : « J’le voulais.»


  Je lui tire, bien évidemment, la langue.


« Bon ! Ok ! Je prends l’eau.»

« Bah moi ! Ça sera la terre. En plus, c’est ma couleur préférée.» Annonça Cléo.


  Eloïse et moi répétâmes en nous moquant 
« MA COULEUR PREFEREEEEEEE !»
Sur ces rires, et en laissant à Cléo le temps de ne plus bouder, je tournais les pages du livre et m’arrêtais à la page 9.


« Et si on essayait ce sort là ? Y’a marqué faire voler un objet.» Dis-je en pointant du doigt la page.
« Fais voir » Me dit Eloïse en m’arrachant le livre des mains.

« Bon on se donne la main et vous répétez après moi en français! Fia. Terré» Ordonna Eloïse.
« Stop ! Pourquoi c’est toi qui le lirait en latin ? » Râla Cléo.

 «Est-ce que l’une de vous deux sait lire le latin ? »Rétorqua Eloïse.

 

Cléo et moi secouâmes la tête.

 

«Ben voila ! En plus je suis l’eau !»

 

  Je me mis à rire et lui dit.

 

«Et alors ? T’es l’eau, mais on n’est pas sûr que tu sois potable !»

« Ah ! Ah ! Ah ! Très drôle ! Je vous f’rais dire que l’eau est le centre élémentaire Enfin des éléments. »

«T’inquiète on avait compris, mais » Intervint Cléo.

« Ok, t’as gagnée » Dis-je à Eloïse.

« Bon, fia terré aqua, vo fia e aqua implore... Terré e vo imploreobt a mia jà da rect » Chantonna Eloïse.

« Feu, terre, eau, vent. J’implore le feu et l’eau. J’implore la terre et le vent. Obéissez-moi, j’ai dit : faites !» Suivîmes Cléo et moi.

 

  Nous fermâmes les yeux et quand nous les rouvrîmes rien ne s’était produit. Vous imaginez notre surprise, rien qui vole ou même se soulève. On n’en demandait pas temps, mais là, rien de rien ! Déçue je dis.

 

« Bon ! Laissons tomber, apparemment on n’est pas faites pour ça. Mais n’oubliez pas mon anniv cette aprèm à trois heures ! »

 

  Je me levais et me dirigeais vers mon destin, celui de mes quatorze ans ! Hé oui, a cet âge, chaque année nous rapproche des boutons et des responsabilités.

8 avril 2010

PROLOGUE 1

Alors voila ! Bon c’est vrai on ne commence jamais une histoire par « alors voila!». Généralement on dit : « il était une fois » ou « jadis », mais après tout je ne suis pas écrivain.

Je me nomme Jade, je suis mince, avec des cheveux auburn et des yeux dorés. Je tourne autour d’un mètre cinquante, je dis autour pour ne pas dire un mètre quarante neuf hihihi. Mes deux meilleures amies, et également voisines, sont Cléo et Eloïse.


  Cléo est une blonde aux yeux bleus, d’un mètre soixante (tout en jambe) et aux formes généreuses, l’archétype masculin quoi ! Quand à Eloïse, c’est tout l’opposé : elle est brune, les yeux vert un mètre cinquante mais toute élancée. Nous sommes toutes les trois situées dans l’âge que l’on appelle ingrat c'est-à-dire 15 ans les formes pas encore développée pour certaines et en plein dans les boutons pour d’autres! Ce fut à ce moment là que l’on découvrit nos pouvoirs, donc nos meilleures années, qui ne rêverait pas à 15 ans que tous nos malheurs d’adolescentes soient remplacés par des pouvoirs de sorcières.


  Alors voilà, j’avais envie de vous raconter notre aventure et c’est pourquoi je prends la plume enfin le clavier ! Et oui, on est moderne de nos jours, hihihi ! Alors maintenant, si vous voulez bien m’écouter, je commence

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DRÔLES D'APPRENTIES
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