Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
DRÔLES D'APPRENTIES
Archives
8 avril 2010

CHAP 2. LE VOEUX...

Mes invités sont tous là. Il y a Cléo, Eloïse, Lucas (qui est le petit chéri de Eloïse), Enzo sur qui j’ai des vues, des ami(e)s de classes et j’en passe (bah oui ! Ce ne sont pas les stars du livre alors pas besoin de tous les citer) et moi, bien sûr ! La "Starlette" de la journée et oui je venais d’avoir 15 ans.

« Joyeux z’anniversaire, joyeux z’anniversaire jade, joyeux z’anniversaire »S’exclamèrent t-ils tous ensemble.

« Bon anniversaire, ma petite Sorcière ! Je vais t’offrir un philtre d’amour pour ton anniversaire » Me dit Héloïse tout bas, en fixant Enzo.

Je lui donnais un grand coup dans les côtes. Hélas oui ! Discrétion n’était pas son deuxième prénom, malheureusement !

« Mais non ! Je rigole, tu devrais voir ta tête.

« Tiens ! » Me dit-ma mère en me tendant un tout petit paquet rouge.

Je déballais soigneusement le paquet ! Bon d'accord, je plaisante !!! J’adore les cadeaux, alors je me ruais dessus comme la pauvreté sur le monde. J’en sortis une bague en argent avec au centre, incrusté, un rubis.

« Ouah » M’exclamais-je « merci maman c’est magnifique mais elle à l’air ancienne cette bague ? » La questionnais-je.

« Exacte ma princesse, cette bague est dans notre famille depuis des générations elle se transmet de mère en fille ! » M’expliqua t elle.

Mes deux amies regardèrent ma bague avec insistance.

« Quoi ?qu’es qu’il y’a ?vous ne la trouvée pas magnifique » Dis je piquée au vif.

« Bah ce n’est pas sa mais j’ai l’impression de l’avoir déjà vu quelques part…» Déclara Eloïse.

« C’est dingue moi aussi ! C’est juste que je ne me rappelle plus ou exactement ! Bon laissons tomber et retournons a ta fête. » Termina Cléo.

Avant que je puis renchérir ma mère amena un énorme gâteau style "fifille" (mais si, vous savez bien, le gros blanc avec de la crème rose partout). Donc, contrainte et forcée, je soufflais sur le gâteau, non pardon, sur les bougies et je fis le vœu que mes meilleures amies et moi puissions avoir de fantastiques pouvoirs (faut pas rêver, mais bon après tout les vœux sont fait pour ça, sinon on n’appellerait pas ça des vœux mais des exigences).

La fin de journée se termina dans le calme tout comme elle avait commencé, et tout le monde rentra chez soi, me laissant seule avec mon année de plus.

Le lendemain était un jour d’école, l’endroit le plus ennuyeux du monde mais également celui ou on n’est obligé de rester pendant un minimum d’année légal dur hein !

Par chance Cléo et Eloïse était dans la même classe que moi donc sa réconforte un p’tit p’tit peu.

Ce matin là, enfin devrais-je dire comme tous les matins, nous partîmes toutes les trois ensembles et rejoignirent Lucas et Enzo qui nous attendaient devant les grilles du collège.

« Salut toi !» Dis Eloïse en s’approchant de Lucas.

Elle l’embrassa et Cléo et moi ne pouvions que tourner la tête.

C’est vrai quoi ! Ils pourraient faire sa ailleurs que devant nous, ils nous jettent leur amour à la figure. C’est chiant à la fin surtout quand le votre est apporté de main, mais qu’il ne le sait pas encore !

« Eh ! Au faite, j’ai trouvée ou j’avais déjà vu ta bague, tu te rappelle ma tante Zaza ? » Dit Cléo pour coupée cours à mes rêveries.

« Oui ta tante qui dit être une sorcière elle est un peu loufoque avec ses chats mais je l’aime bien » Dis je en souriant.

Oui ! Tante Zaza était une femme d’une quarantaine d’année qui n’avait plus toute sa tête, elle vivait entourée d’une centaine de chats et nous racontais toujours des histoires abracadabrance sur ses aïeules les sorcières.

« Oui c’est elle, mais elle n’est pas folle ! Bref, et bien elle a une bague dans son coffret à bijou qui ressemble approximativement à la tienne sauf que la pierre est verte. Je le sais car elle me laissait souvent jouer avec ses bijoux quand elle me gardait plus petite. » Dis Cléo

« Eh ! ca vient de sonner ! Aller les rêveuses en cours ! Il est l’heure ! » Ordonna Eloïse.

Nous entrâmes dans notre prison, et la matinée passa plus rapidement que je l’avais pensée.

Midi sonna et la cantines commençait à se remplir, quand Cléo raconta a Eloïse la ressemblance entre ma bague et celle de tante Zaza.

« C’est dingue car en rentrant chez moi hier je n’arrivais pas à m’enlever l’image de la bague de Jade et l’impression que je l’avait déjà vue » Commença Éloïse.

Nous choisîmes nos plats et nous installèrent à une table pour laisser Eloïse finir.

« Alors, je me suis mise à fouiller dans mes bijoux mais rien. Et puis une lumière! Je suis partie dans la chambre de maman et j’ai regardée dans la boite a bijou de ma grand-mère maternelle, celle qui est décédée. Et devinez quoi, la même bague que Jade était là sous mes yeux. Si je vous jure ! Bon pas la même, la mienne à une pierre bleue au milieu. » Nous raconta Eloïse.

« C’est dingue sa! Vous voulez dire que l’on a la même bague toute les trois ; » M’exclamais-je.

« J’aurais plutôt dit bizarre, que dingue. Mais oui, c’est ça ! » Dis Cléo.

« Moi, elle me vient de ma grand-mère et maman ma dit quelle appartenait aussi à la mère de sa mère, tous comme celle de Jade. Et toi, Cléo tu connais l’histoire de ta bague ? » Demanda Eloïse.

« Non, mais je te parie que c’est du même genre. J’en parlerais à ma tante se soir et je lui demanderais de me la prêter et comme sa on pourra les comparer. Après tous on n’est pas sur que ce soit les mêmes ! » Répondit Cléo.

Nous vidames nos plateaux et retournèrent en cours, en fin d’après midi Cléo partie chez sa tante et Eloïse et moi rentrâmes chacun chez soit.

Sa devenait franchement Bizarre c’était le mot qu’avait employée Cléo. Trois bagues identiques dans trois familles différentes avouez que ce n’est pas commun.

« Maman, il faut que je te pose une ou deux questions » Dis-je à ma mère qui était plongée dans son roman.

Elle releva la tête : « Vas y me » Dit elle.

« Est-ce que tu sais si il existe d’autre bague comme la mienne ? Et a-t-elle une histoire en particulier, à part cette transmission de génération en génération ? » Demandais-je.

« Alors oui et oui au deux rit elle devant mon air ahurie mais ce n’est que des histoires que ma racontée ta grand-mère lorsque j’étais enfant » Me répondit elle.

« Allez maman ! Ne te fait pas prier, raconte ! » M’énervais-je.

« Ok ! Alors ta bague à deux jumelles enfin c’est ce que ma dit ta grand-mère et toujours d’après elle nous a été transmise par ton arrière arrière ar... Enfin ton ancêtre, qui était parait il un puissant sorcier, à sa fille qui était ton arrière arrière ar bon enfin tu as compris ou je voulais en venir ! » Me dit elle en replongeant dans son livre.

Je me mis à rire, ma mère ne se prenais jamais au sérieux et c’est cela que j’appréciais le plus chez elle.

Mais cela me donna matière à réfléchir donc il existait bien deux autres bagues.

Première question, était-ce celle de mes deux meilleures amies ? Deuxièmement, qu’est ce que cela signifiait, alors vu qu’elle nous avait été transmise de famille en famille ?

Rien de telles que de se poser trop de questions, pour avoir mal à la tête et ne plus savoir ou on en est ! Je montais me coucher et malgré les apparences, je m’endormie très facilement.

 

Cette nuit-là, Eloïse rêva de Cléo et de moi (je n’étais pas dans son rêve bien sûr, enfin si, mais pas comme ça. Il faut bien que je vous explique sinon vous allez être complètement perdu),  et nous avions des pouvoirs surnaturels : Cléo avait une vision super développée, moi j’étais dotée de dons de télékinésie, quand à elle : elle avait des visions prémonitoires, rien de plus agréable pour profiter de sa nuit que d'avoir des rêves prémonitoires, hi hi hi .

Publicité
Commentaires
DRÔLES D'APPRENTIES
Publicité
Publicité