CHAP 2. LE VOEUX...
Mes invités sont tous là. Il y a
Cléo, Eloïse, Lucas (qui est le petit chéri de Eloïse), Enzo sur qui j’ai des
vues, des ami(e)s de classes et j’en passe (bah oui ! Ce ne sont pas
les stars du livre alors pas besoin de tous les citer) et moi, bien sûr ! La
"Starlette" de la journée et oui je venais d’avoir 15 ans.
« Joyeux z’anniversaire, joyeux
z’anniversaire jade, joyeux z’anniversaire… »S’exclamèrent t-ils tous ensemble.
« Bon anniversaire, ma petite
Sorcière ! Je vais t’offrir un philtre d’amour pour ton anniversaire » Me dit Héloïse tout bas, en fixant Enzo.
Je lui donnais un grand coup dans les côtes. Hélas
oui ! Discrétion n’était pas son deuxième
prénom, malheureusement !
« Mais non ! Je rigole, tu
devrais voir ta tête.
« Tiens
! » Me dit-ma mère en me tendant un
tout petit paquet rouge.
Je déballais soigneusement le paquet
! Bon d'accord, je plaisante !!! J’adore les cadeaux, alors je me ruais
dessus comme la pauvreté sur le monde. J’en sortis une bague en argent
avec au centre, incrusté, un rubis.
« Ouah » M’exclamais-je « merci
maman c’est magnifique mais elle à l’air ancienne cette bague ? » La questionnais-je.
« Exacte
ma princesse, cette bague est dans notre famille depuis des générations elle se
transmet de mère en fille ! »
M’expliqua t elle.
Mes deux amies regardèrent ma bague
avec insistance.
« Quoi ?qu’es
qu’il y’a ?vous ne la trouvée pas magnifique » Dis je piquée au vif.
« Bah
ce n’est pas sa mais j’ai l’impression de l’avoir déjà vu quelques part…» Déclara Eloïse.
« C’est
dingue moi aussi ! C’est juste que je ne me rappelle plus ou
exactement ! Bon laissons tomber et retournons a ta fête. » Termina Cléo.
Avant que je puis renchérir ma mère amena un
énorme gâteau style "fifille" (mais si, vous savez bien, le gros
blanc avec de la crème rose partout). Donc, contrainte et forcée,
je soufflais sur le gâteau, non pardon, sur les bougies et je
fis le vœu que mes meilleures amies et moi puissions avoir de fantastiques
pouvoirs (faut pas rêver, mais bon après tout les vœux sont fait pour ça, sinon
on n’appellerait pas ça des vœux mais des exigences).
La fin de journée se termina dans le
calme tout comme elle avait commencé, et tout le monde rentra chez soi, me
laissant seule avec mon année de plus.
Le lendemain était un jour d’école,
l’endroit le plus ennuyeux du monde mais également celui ou on n’est obligé de
rester pendant un minimum d’année légal dur hein !
Par chance Cléo et Eloïse était dans
la même classe que moi donc sa réconforte un p’tit p’tit peu.
Ce matin là, enfin devrais-je dire
comme tous les matins, nous partîmes toutes les trois ensembles et rejoignirent
Lucas et Enzo qui nous attendaient devant les grilles du collège.
« Salut
toi !» Dis
Eloïse en s’approchant de Lucas.
Elle l’embrassa et Cléo et moi ne
pouvions que tourner la tête.
C’est vrai quoi ! Ils
pourraient faire sa ailleurs que devant nous, ils nous jettent leur amour à la
figure. C’est chiant à la fin surtout quand le votre est apporté de main, mais
qu’il ne le sait pas encore !
« Eh !
Au faite, j’ai trouvée ou j’avais déjà vu ta bague, tu te rappelle ma tante
Zaza ? »
Dit Cléo pour coupée cours à mes rêveries.
« Oui
ta tante qui dit être une sorcière elle est un peu loufoque avec ses chats mais
je l’aime bien » Dis
je en souriant.
Oui ! Tante Zaza était une
femme d’une quarantaine d’année qui n’avait plus toute sa tête, elle vivait
entourée d’une centaine de chats et nous racontais toujours des histoires abracadabrance
sur ses aïeules les sorcières.
« Oui
c’est elle, mais elle n’est pas folle ! Bref, et bien elle a une bague
dans son coffret à bijou qui ressemble approximativement à la tienne sauf que
la pierre est verte. Je le sais car elle me laissait souvent jouer avec ses
bijoux quand elle me gardait plus petite. » Dis Cléo
« Eh !
ca vient de sonner ! Aller les rêveuses en cours ! Il est
l’heure ! » Ordonna Eloïse.
Nous entrâmes dans notre prison, et la matinée passa plus
rapidement que je l’avais pensée.
Midi sonna et la cantines commençait à se remplir, quand Cléo
raconta a Eloïse la ressemblance entre ma bague et celle de tante Zaza.
« C’est dingue car en rentrant chez moi hier je n’arrivais
pas à m’enlever l’image de la bague de Jade et l’impression que je l’avait déjà
vue… » Commença Éloïse.
Nous choisîmes nos plats et nous installèrent à une table pour
laisser Eloïse finir.
« Alors, je me suis mise à fouiller dans mes bijoux mais
rien. Et puis une lumière! Je suis partie dans la chambre de maman et j’ai
regardée dans la boite a bijou de ma grand-mère maternelle, celle qui est décédée.
Et devinez quoi, la même bague que Jade était là sous mes yeux. Si je vous
jure ! Bon pas la même, la mienne à une pierre bleue au milieu. » Nous raconta Eloïse.
« C’est dingue sa! Vous voulez dire que l’on a la même bague
toute les trois ; » M’exclamais-je.
« J’aurais plutôt dit bizarre, que dingue. Mais oui, c’est ça ! » Dis Cléo.
« Moi, elle me vient de ma grand-mère et maman ma dit quelle
appartenait aussi à la mère de sa mère, tous comme celle de Jade. Et toi, Cléo
tu connais l’histoire de ta bague ? »
Demanda Eloïse.
« Non, mais je te parie que c’est du même genre. J’en
parlerais à ma tante se soir et je lui demanderais de me la prêter et comme sa
on pourra les comparer. Après tous on n’est pas sur que ce soit les
mêmes ! » Répondit Cléo.
Nous vidames nos plateaux et retournèrent en cours, en fin
d’après midi Cléo partie chez sa tante et Eloïse et moi rentrâmes chacun chez
soit.
Sa devenait franchement … Bizarre c’était le mot
qu’avait employée Cléo. Trois bagues identiques dans trois familles différentes
avouez que ce n’est pas commun.
« Maman, il faut que je te pose
une ou deux questions » Dis-je à ma mère qui était
plongée dans son roman.
Elle releva la
tête : « Vas y me » Dit elle.
« Est-ce que tu sais si il existe d’autre bague comme la
mienne ? Et a-t-elle une histoire en particulier, à part cette
transmission de génération en génération ? » Demandais-je.
« Alors oui et oui au deux rit elle devant mon air ahurie
mais ce n’est que des histoires que ma racontée ta grand-mère lorsque j’étais
enfant » Me répondit elle.
« Allez maman ! Ne te fait pas prier, raconte ! » M’énervais-je.
« Ok ! Alors ta bague à deux jumelles enfin c’est ce
que ma dit ta grand-mère et toujours d’après elle nous a été transmise par ton
arrière arrière ar... Enfin ton ancêtre, qui était
parait il un puissant sorcier, à sa fille qui était ton arrière arrière ar… bon enfin tu as compris ou je voulais en venir ! » Me dit elle en replongeant dans son livre.
Je me mis à rire, ma mère ne se prenais jamais au sérieux et
c’est cela que j’appréciais le plus chez elle.
Mais cela me donna matière à réfléchir donc il existait bien
deux autres bagues.
Première question, était-ce celle de mes deux meilleures
amies ? Deuxièmement, qu’est ce que cela signifiait, alors vu qu’elle nous
avait été transmise de famille en famille ?
Rien de telles que de se poser trop de questions, pour avoir mal
à la tête et ne plus savoir ou on en est ! Je montais me coucher et malgré
les apparences, je m’endormie très facilement.
Cette nuit-là, Eloïse rêva de Cléo
et de moi (je n’étais pas dans son rêve bien sûr, enfin si, mais pas comme ça.
Il faut bien que je vous explique sinon vous allez être
complètement perdu), et nous avions des pouvoirs surnaturels
: Cléo avait une vision super développée, moi j’étais dotée de
dons de télékinésie, quand à elle : elle avait des
visions prémonitoires, rien de plus agréable pour profiter de sa nuit que
d'avoir des rêves prémonitoires, hi hi hi ….